Chroniques du temps réel

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par Un juriste • le 26 janvier 2025
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par Groupe Proudhon • le 26 janvier 2025
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par Francis PIAN • le 26 janvier 2025
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Actus anarchistes

Arts et Spectacles

par Evelyne Trân • le 23 janvier 2025
Le brigadier est un sensé
Le Sens de la Vie est-il un 6e Sens ou celui des aiguilles d’une montre ? de Gauthier FOURCADE
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par Fédération anarchiste Italienne • le 19 janvier 2025
Histoire

par Association du 24 août 1944 • le 19 janvier 2025
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Actus anarchistes

par CIRA Limousin • le 19 janvier 2025
Actualité de Radio Libertaire

par Emission Un classique, s’il vous plaît ! • le 19 janvier 2025
Brèves de combat
SUD Culture Solidaires / Section de la Bibliothèque nationale de France
le 23 juin 2018 | PAR Pat de Botul
Le samedi 16 juin a marqué le cinquième jour de grève à la BnF, pour améliorer nos conditions de travail, pour mettre fin au sous-effectif chronique, pour défendre un service public de qualité et pour enfin faire entendre les revendications des agent.e.s de la bibliothèque. Cette grève a de nouveau était fortement suivie, avec une perturbation importante du service public. Elle a été suivie mardi 19 juin d’une mobilisation nationale du ministère de la Culture, lors de laquelle nous avons rejoint les autres établissements en grève et avons défilé jusqu’au siège du ministère. Mais confrontée à cette mobilisation, la direction de la BnF se moque des agent.e.s grévistes, en convoquant des simulacres de réunions de négociations qu’elle ne prépare pas et où elle n’a rien à dire. Nous dénonçons cette attitude méprisante et nous exigeons la tenue immédiate de vraies négociations pour répondre aux demandes des grévistes. Face à ce blocage et face aux nombreux problèmes qui touchent toutes et tous les agent-e-s de la BnF, le personnel mobilisé, soutenu par notre organisation syndicale, a décidé de reconduire la grève pour le samedi 23 juin !
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Procès des militants de Bure
le 23 juin 2018 | PAR Pat de Botul
Les gardes à vue de huit militants opposés au projet d’enfouissement des déchets nucléaires à Bure (Meuse), interpellés mercredi, ont pris fin et trois d’entre eux ont été mis en examen pour des actions commises en 2017. Parmi les huit personnes interpellées, âgées de 20 à 60 ans, les trois mis en examen ont été placées sous contrôle judiciaire. Deux personnes étaient en cours de déferrement devant le magistrat instructeur vendredi après-midi, tandis qu’une autre a été remise en liberté avec poursuite d’enquête. Une femme de 60 ans et un avocat parisien, principal conseil des opposants, ont été placés sous le statut de témoin assisté. Les huit militants avaient été interpellés mercredi sur commission rogatoire d’un juge d’instruction pour des faits commis en 2017 : des dégradations commises sur des bâtiments appartenant à l’Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs (Andra), dont un départ d’incendie volontaire, et une manifestation illégale, le 15 août, au cours de laquelle des violences avaient éclaté entre opposants et forces de l’ordre. Neuf habitations appartenant aux antinucléaires, principalement en Meuse, dont la Maison de résistance à Bure, avaient été perquisitionnées par plus de 200 gendarmes. Lors de la perquisition du domicile de l’avocat à Paris, où est installé son cabinet, son matériel informatique et son téléphone portable ont été saisis. "La procédure judiciaire prévoit qu’un débat devant le juge des libertés et de la détention doit avoir lieu pour confirmer ou infirmer les saisies opérées par le juge d’instruction", a dit le procureur, précisant qu’il aurait lieu "la semaine prochaine". Le Conseil national des barreaux a dénoncé vendredi, dans un communiqué, "ces méthodes d’intimidation qui visent un avocat dans l’exercice de sa profession, dans un dossier où il était lui-même constitué et cette atteinte intolérable aux droits de la défense et au secret professionnel". Une cinquantaine d’avocats de différents barreaux de France avaient dénoncé mercredi "une gravissime remise en cause du plein exercice de la profession d’avocat". "Nous voyons ici se monter sous nos yeux une nouvelle affaire Tarnac, dont l’objectif est de détourner l’attention des risques réels du projet Cigéo, de construire de toute pièce des suspects et d’affaiblir la lutte", ont réagi dans un communiqué des associations et collectifs opposés au projet Cigéo. Le projet Cigéo à Bure, mené par l’Andra, vise à enfouir à 500 m sous terre les déchets les plus radioactifs ou à vie longue du parc nucléaire français
SNCF : Les jours de repos de grévistes payés
le 22 juin 2018 | PAR Pat de Botul
Le tribunal de grande instance de Bobigny a condamné la SNCF à payer les jours de repos des grévistes, l’entreprise veut faire appel...
Ce sont les condés qui coûtent cher, pas les pauvres !
le 22 juin 2018 | PAR Pat de Botul
Les magistrats soulignent le coût élevé des mesures prises pour récompenser des forces de l’ordre très sollicitées. Le locataire de la place Beauvau conteste ces avertissements.
Trump retoqué
le 22 juin 2018 | PAR Pat de Botul
Face au tollé croissant suscité par le choix de séparer les familles de sans-papiers arrêtées après le franchissement illégal de la frontière avec le Mexique, Donald Trump a battu en retraite en signant dans la précipitation un décret présidentiel disposant que les enfants et les parents seront désormais détenus ensemble pendant la durée des poursuites judiciaires.
> ZADs
Répression à Bure
le 21 juin 2018 | PAR Pat de Botul
Cinq jours après la manifestation contre le gigantesque projet Cigéo d’enfouissement des déchets nucléaires de Bure (Meuse), plusieurs interpellations et perquisitions ont eu lieu parmi les opposants mercredi matin dans une dizaine de lieux de vie. Plus de 200 gendarmes enquêteurs et militaires ont été mobilisés pour cette opération...
L’Etat d’Israël veut bâillonner l’opinion
le 21 juin 2018 | PAR Pat de Botul
Le 17 juin, le comité ministériel pour la législation a validé un projet de loi souhaitant rendre illégale la diffusion d’images ou d’enregistrements audio qui mettraient en cause l’action de soldats en mission, en portant atteinte à leur « moral ». Une telle diffusion serait passible de cinq ans de prison, voire dix si la sécurité nationale était atteinte, prévoit le texte, adopté en lecture préliminaire à la Knesset le 20 juin. Si sa validation définitive par les députés reste problématique, le passage de ce premier obstacle constitue en soi un message alarmant pour la société civile.
L’extrême-droite pointe son museau au Quebec
le 21 juin 2018 | PAR Pat de Botul
Des organisations comme La Meute, Atalante, Les Soldats d’Odin ou encore Storm Alliance, la Fédération des Québécois de souche, qui ne cache pas ses sympathies pour le Rassemblement national (RN, ex-FN) et Horizon Québec actuel, -ultranationalistes anti-islam et anti-immigration et néonazis- ont organisé leurs premières manifestations dans la province surfant sur les relents populistes et xénophobes exacerbés par des débats passionnés sur la laïcité, le port du voile islamique et l’immigration.
ALERTA ANTIFACISTA à Avallon
le 20 juin 2018 | PAR Pat de Botul
Les 29, 30 juin et 1er juillet devrait se tenir près d’Avallon (89) le « camp d’été » de « Bastion Social », une organisation néofasciste proche des italiens de CasaPound. Impossible de les laisser faire ça tranquillement ! Les 29, 30 juin et 1er juillet doit se tenir, près d’Avallon (89), le camp d’été du Bastion Social. Comme son nom ne l’indique pas, Bastion Social est une organisation d’extrême droite radicale. Bastion Social, GUD, Génération Identitaire, Action Française… la montée en puissance de ces groupes fascistes et la façon dont ils agissent deviennent de plus en plus inquiétantes. Ils procèdent toujours de la même manière : ils profitent d’un ras le bol légitime contre les institutions pour se présenter comme une solution honorable. Pour eux, toujours les mêmes boucs émissaires : l’étranger, la différence. Il est toujours plus facile pour ces néofascistes de s’attaquer au migrant(e) qui quitte son pays et passe les frontières au péril de sa vie que de s’en prendre aux puissants. Dresser des pauvres contre des pauvres n’est pas une solution acceptable. Ces réactionnaires pensent pouvoir se faire passer pour des défenseurs des acquis sociaux, mais jamais le fascisme partout où il réussit à arriver n’a été synonyme d’avancées sociales. Malgré leurs discours volontairement confus. Ils sont racistes, fascistes, antisémites, homophobes et ils ne pourront jamais être une réponse aux injustices que nous subissons. Pour leur université d’été qu’ils comptent tenir à Avallon, Bastion Social a nommé sa promo « François Duprat », du nom d’un fasciste revendiqué, antisémite assumé membre fondateur du FN. Pour nous c’est un affront à ce que représente le Morvan : le Morvan a été une terre du maquis avec plus d’une trentaine de groupe organisés pour combattre le nazisme et ses idées qu’aujourd’hui ils veulent nous ramener. Il est hors de question de tolérer cet affront, il est hors de question de tolérer ces fachos, ici ou ailleurs. Nous ferons donc tout pour empêcher la tenue de leur camp et appelons le 30 juin à 12H sur la place du marché à Avallon près de la mairie, à un pique-nique tiré du sac et manifestation festive qui prouvera que le Morvan est avant tout une terre d’accueil. Que chacun passe un appel à la mairie, à la sous-préfecture ou à l’endroit qui va loger ces fachos, pour dire notre colère face à ce rassemblement ! Mairie d’Avallon : 03 86 34 13 50. Sous-Préfecture : 03 86 34 92 00. NB : Il va sans dire que cet événement nécessite la plus grande vigilance de la part de toutes et tous : il n’est pas rare que ces groupuscules, galvanisés par leur lâcheté, traînent les rues pour « ratonner » les personnes seules ou en infériorité. Sous leurs apparences « sociales », ils continuent à agresser, allant parfois jusqu’à poignarder.
Ferme des 1000 vaches : Communiqué de la Confédération paysanne
le 20 juin 2018 | PAR Pat de Botul
Le 31 mai à Amiens, le tribunal de la ville jugeait la requête des patrons de la ferme-usine des 1000 vaches qui réclament 140 000 € de dommages et intérêts à cinq militants et une militante de la Confédération paysanne pour avoir participé avec des dizaines d’autres manifestant.es à des actions syndicales contre ce projet industriel à grande échelle. Le tribunal rendra publique le 13 septembre sa décision. Le combat contre les fermes-usines est loin d’être terminé.
