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par René Berthier le 12 juillet 2020

L’ Internationale syndicale rouge (11e partie)

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Le Second congrès de l’Internationale communiste

Le IIe congrès de l’Internationale est en fait pratiquement celui du début de son déclin: les conditions draconiennes pour adhérer à l’organisation sont le symptôme que celle-ci n’est déjà plus l’instance chargée superviser l’expansion de la révolution mondiale mais celle qui doit permettre aux dirigeants russes d’utiliser les partis communistes «frères» comme des instruments de leur politique internationale. C’est pourquoi l’instauration d’une stricte discipline était devenue vitale. Il fallait à tout prix aligner les partis sur le modèle russe. Moscou dépêcha dans ces partis des agents chargés de les surveiller et de les encadrer strictement.

«A partir du 2e congrès, en 1920, Moscou commença à établir sur la Troisième internationale une hégémonie qui allait finalement supprimer toute égalité entre le PCUS et les autres partis communistes. Ce qu’on demanda avant tout à ceux-ci, c’était non seulement la reconnaissance inconditionnelle de la direction soviétique, mais encore l’obéissance absolue à tous les ordres de Moscou [note] .»

L’Internationale communiste est un relatif échec [note] . Alors qu’elle aurait besoin de s’appuyer sur de puissants partis communistes dans les pays industrialisés, ceux-ci restent des créations fragiles, ultra-minoritaires divisées par des luttes fractionnelles et occupées surtout à combattre la social-démocratie, comme en Allemagne. Si la révolution russe a suscité la sympathie dans le mouvement ouvrier, ce sont surtout les intellectuels et d’anciens militants social-démocrates qui ont afflué dans les partis communistes. Il manque à l’Internationale communiste l’essentiel, une solide implantation dans le prolétariat, des militants aguerris, expérimentés. Or, en ces années vingt, ces militants se trouvent dans le mouvement syndicaliste révolutionnaire et anarchiste. Il fallait à tout prix attirer ces militants et leurs organisations tout en évacuant leurs idées.

A l’origine, la constitution d’une Internationale qui serait la réplique syndicale de l’Internationale des partis communistes, n’était pas à l’ordre du jour. C’est ce qui explique que, dans un premier temps, les organisations syndicalistes révolutionnaires espagnole (CNT) et italienne (USI) aient adhéré à l’IC. 

Lorsque le constat de l’échec de la révolution mondiale et celui de la retombée du mouvement révolutionnaire au niveau international fut fait, les dirigeants communistes russes se trouvèrent devant la nécessité de réorienter leur politique. Il n’était plus question que la politique internationale de la Russie soviétique soit véhiculée par de petites organisations – partis ou syndicats – minoritaires, voire ultra-minoritaires. Il fallait toucher le prolétariat là où il se trouvait, dans les organisations réformistes dont les effectifs, contre toute attente des dirigeants russes, avaient énormément gonflé.

L’existence d’organisations révolutionnaires minoritaires devint donc un handicap à la politique de Moscou, dans la mesure où la majorité des militants expérimentés du mouvement ouvrier, restés fidèles au principe d’unité, se trouvaient dans les centrales syndicales dites «réformistes». Plutôt que de s’agiter vainement dans de petits groupes radicaux, il fallait donc entrer dans les grandes organisations et rallier au communisme les militants syndicalistes révolutionnaires et anarchistes qui s’y trouvaient, s’engager dans l’action revendicative et se montrer capable de défendre les intérêts immédiats des travailleurs mieux que les réformistes, seule condition pour obtenir un minimum de crédibilité.

En même temps, sur le terrain politique, le constat de l’impossibilité pour les communistes de prendre seuls le pouvoir conduisit l’Internationale à imposer aux partis membres la stratégie parlementaire – ce qui ne fut pas facile, en particulier en Allemagne, où les militants révolutionnaires étaient férocement opposés à cette stratégie. C’est pourtant d’Allemagne que naquit l’idée de «Front unique» qui allait se développer. Les révolutionnaires allemands vont d’ailleurs se trouver otages des dissensions entre bureaucrates bolcheviks sur cette question.

L’«Action de mars» et le Komintern
Pour rappel, le IIe congrès de l’Internationale communiste, qui s’était tenu pendant l’été 1920, avait opéré un tournant décisif dans le sens du contrôle par Moscou des partis communistes adhérents. La 9e des conditions d’admission à l’Internationale faisait notamment obligation aux partis adhérents de noyauter les syndicats pour en prendre le contrôle. Les partis membres se voyaient également enjoints de participer aux élections parlementaires. Dans l’optique des dirigeants communistes russes, la révolution ne pouvait en aucun cas se limiter à la Russie: il était essentiel qu’elle s’étende à d’autres pays et en particulier en Allemagne qui était en quelque sorte le berceau du marxisme.
L’injonction de participer aux élections parlementaires fut particulièrement mal perçue en Allemagne du fait du rôle désastreux joué par la social-démocratie pendant la guerre.

Il est en particulier essentiel de savoir:
1. A partir de quel moment les dirigeants russes ont décidé que la révolution était terminée;
2. Sur quels critères ils se sont fondés pour parvenir à cette conclusion.

Par ailleurs, des dissensions sont apparues au sein même de la direction du parti communiste russe sur la politique internationale: une partie de celle-ci avec Zinoviev et Boukharine, le premier étant par ailleurs président de l’Internationale, poussait à l’aventurisme révolutionnaire; une autre partie avec Lénine et Trotsky, préconisait une politique plus modérée. Il faudra donc tenter de comprendre la signification de ces oppositions et leurs conséquences.


En décembre 1920, le Parti communiste allemand (KPD) et l’USPD (socialistes «indépendants») s’étaient unifiés et avaient fondé le VKPD – «V» pour Vereinigte, «uni». Le nouveau parti comptait alors 500 000 membres et obtint, lors des élections au Landtag de Prusse en février 1921, 30 % des suffrages.

Le parti communiste allemand, membre de l’Internationale, s’attelle donc à la tâche de liquider les «gauchistes» dans ses rangs. Ces gauchistes avaient le soutien de Zinoviev, président de l’Internationale, et de Boukharine, partisans de la révolution à outrance. Contre l’avis de Lénine et de Trotsky, ils vont, en mars 1921, engager les révolutionnaires allemands dans une entreprise perdue d’avance, provoquant une catastrophe dont le mouvement ouvrier allemand ne se relèvera pas. A la suite d’une provocation du gouvernement, les communistes de la province de Halle-Mersebourg appellent à la lutte armée, sans préciser les objectifs. Le mouvement est peu suivi, les manifestations rassemblent des effectifs réduits en dehors des dockers de Hambourg et des ouvriers du district de Mansfeld. Les combats tournent à la catastrophe. 24 mars, le KAPD et le VKPD lancent un appel commun à la grève générale dans toute l’Allemagne, qui sera peu suivi: 300 000 grévistes. Il n’y a aucune action coordonnée pour résister à la répression de l’État. Les ouvriers armés sont mal préparés, mal dirigés. Les usines Leuna sont prises d’assaut par les troupes gouvernementales, sans provoquer de réaction dans les autres villes. Le VKPD perd 200 000 membres en quelques semaines. Ce fut un désastre pour ce parti qui avait lancé le mouvement sans analyser la situation, sans tenir compte du rapport des forces et sans objectif clair. Le SPD publia dans Vorwärts des documents du KPD saisis par la police prussienne.

Il apparut que Hugo Eberlein, un dirigeant du parti, avait organisé une série de provocations en Allemagne centrale afin de susciter la mobilisation des travailleurs: dirigeants ouvriers kidnappés, attentats, etc. Le Parti communiste alla jusqu’à obliger des travailleurs à sortir de leurs usines à la pointe du canon. Ces initiatives avaient été soutenues par l’Internationale communiste, qui avait envoyé Bela Kun [note] en Allemagne pour «conseiller» le Parti communiste. Le représentant du Komintern encouragea le parti allemand à adopter la «théorie de l’offensive permanente». 

La communiste Ruth Fischer, dirigeante du KPD, affirma que les communistes russes avaient voulu, en lançant l’offensive de mars 1921, détourner l’attention des problèmes internes de la Russie soviétique. En effet, au moment même où se déroulaient ces événements en Allemagne centrale, les bolcheviks liquidaient l’insurrection de Kronstadt. En outre, le pouvoir communiste avait fort à faire en Ukraine avec l’armée insurrectionnelle anarchiste de Nestor Makhno. Une autre hypothèse peut être avancée. Zinoviev, président du Komintern, ivrogne et notoirement incompétent, , avait envoyé Bela Kun en Allemagne pour diriger l’insurrection [note] .. Mais Zinoviev était également le «patron» du parti bolchevik de Petrograd, où se trouvait la forteresse de Kronstadt en ébullition. On peut donc légitimement se demander si l’«Action de mars» ne fut pas déclenchée pour faire diversion et occulter les responsabilités de Zinoviev dans le déclenchement de l’insurrection de Kronstadt.

Il ne fait pas de doute cependant que les prolétaires allemands massacrés en mars 1921 avaient fait les frais des dissensions internes du parti bolchevik. En effet, deux positions s’affrontaient; celle de Zinoviev qui contrôlait le Komintern, et celle de Lénine-Trotsky. Le premier préconisait la politique de l’offensive à tout prix: l’idée était que l’action elle-même créait les conditions de la victoire. Les seconds, estimant que les chances d’une révolution victorieuse étaient passées, pensaient que la prise du pouvoir n’était plus à l’ordre du jour et qu’il fallait conquérir le soutien des masses. Ils avaient fini par comprendre qu’en Allemagne, comme dans les autres pays occidentaux, le mouvement ouvrier n’était vierge ni politiquement ni syndicalement, comme il l’avait été en Russie, que l’influence des partis politiques et des syndicats y était ancienne et profonde et que c’était là un constat qui ne pouvait pas être évité. De fait, pendant l’«Action de mars», les communistes n’avaient pas été partout bien accueillis: lorsqu’ils ne se heurtaient pas à de la simple indifférence, les agitateurs communistes étaient parfois expulsés manu militari par les travailleurs, comme dans les usines Krupp.

Otto Rühle écrivit à ce sujet:

«Des centaines des plus nobles combattants tombés, des milliers jetés au pénitencier ou en prison pour des milliers d’années: n’est-ce pas ce que la bourgeoisie allemande pouvait souhaiter de mieux... L’avant-garde du prolétariat, avec l’aide de la centrale du VKPD, a été “légalement” anéantie !... La révolution en Allemagne est perdue pour longtemps [note] .»

Contre les “socialistes de l’état‑major”
La direction du VKPD, nouvellement désignée, pensait pouvoir forcer le cours des choses. Elle y était poussée par une base fatiguée des appels à la prudence et à la passivité de la précédente direction, démissionnaire. Il se trouvait dans la classe ouvrière allemande «des éléments ouvriers que la toute-puissance de la bureaucratie social‑démocrate ou syndicale a rendus réfractaires à toute forme d’organisation», qui voyaient dans «les “socialistes de l’état‑major” l’ennemi numéro un, des jeunes gens qui ne croient qu’en la force des armes, toute une couche de révoltés, de rebelles, de combattants, de puristes, qui voient dans les appareils bureaucratiques le principal obstacle à la victoire de la révolution. Ils sont fascinés par la révolution russe: la longue expérience des bolcheviks, qu’ils connaissent mal, se résume pour eux à la seule insurrection armée, au seul emploi de la violence révolutionnaire conçue comme une panacée face à la violence impérialiste et militariste [note] .»

Une partie de ces ouvriers s’était regroupés dans la Ligue Spartacus, dont Paul Levy expliquera au IIe congrès de l’Internationale communiste de quoi celle-ci était constituée:

«…des groupes qui, au cours du développement révolutionnaire, se sont formés d’eux‑mêmes dans toutes les régions de l’Allemagne, la plupart du temps sans idées politiques claires, le plus souvent attirés par le nom de Karl Liebknecht (...), des groupes de gens qui n’étaient pas organisés auparavant sur le plan politique. » [note]

La direction du VKPD était également poussée vers la tentation de l’offensive à tout prix par l’exécutif de l’Internationale qui avait envoyé sur le terrain Bela Kun et deux autres hongrois, A. Guralsky et J. Pogany, pour inciter le parti à appliquer cette politique, fondée sur l’idée qu’il fallait avoir recours à un activisme général afin de mettre en mouvement les masses prolétariennes, afin de «briser le mur de passivité des masses laborieuses» (E. Meyer au congrès de Iena du VKPD), sans se préoccuper du rapport des forces. Les «gauchistes» étaient persuadés que le moment était venu de lancer un assaut final au capitalisme et à l’État.

Paul Levy sera celui qui, dans le parti, va mener le combat contre le courant «gauchiste» et il le fera d’autant plus facilement que le groupe Spartakus, isolé, constitué d’ouvriers inexpérimentés, coupés des organisations de masse et de la classe ouvrière, ne pèse pas grand-chose face aux grands partis de la gauche.

Lui et Radek, l’émissaire du parti russe, pensent que la révolution est parvenue à un point mort. La social-démocratie conserve une énorme emprise sur le mouvement ouvrier et sur les syndicats, qui se sont gonflés de l’adhésion de millions de travailleurs peu politisés mais soucieux de la défense de leurs intérêts matériels.

C’est grâce aux syndicats que la social-démocratie maintient, voire accroît son emprise sur la classe ouvrière: les révolutionnaires allemands s’en prennent donc violemment aux syndicats, qu’ils condamnent comme des formes d’organisation périmées, et appellent les travailleurs à les quitter. Les communistes russes au contraire insistent sur la nécessité de travailler dans les syndicats, dans lesquels des millions de travailleurs sont organisés; ils considèrent qu’en appelant à quitter les syndicats, les révolutionnaires allemands font une grosse erreur. Paul Levi partage cette analyse mais refuse d’appeler les révolutionnaires qui avaient proclamé «Tous hors des syndicats !» à y revenir.

Dans une brochure publiée en novembre 1919, Le Développement de la révolution mondiale et la tactique des partis communistes dans la lutte pour la dictature du prolétariat, Radek explique que ceux qui ont pensé que la révolution aboutirait à une victoire rapide se sont trompés, qu’ils ont fait une mauvaise analyse de la révolution russe dont les conditions sont tout à fait différentes de celles de la révolution allemande. Les partis communistes européens doivent comprendre que la révolution sera longue, avec des phases successives d’offensive et de défensive: ils ne doivent par conséquent négliger aucune arme en matière de lutte économique et de lutte politique, qui ne doivent pas être séparées. En Allemagne, les syndicats organisent six millions de travailleurs: le parti communiste doit tenir compte de ce constat. En outre, le parti social-démocrate et le parti social-démocrate indépendant regroupent infiniment plus de travailleurs que les 80 000 membres du parti communiste.

Radek invite donc les communistes à analyser le rapport des forces et à faire l’état de leurs moyens d’intervention. Il engage également la lutte contre les gauchistes:

« La conception puérile suivant laquelle il y a d’un côté les petits partis communistes, de l’autre les contre-révolutionnaires, et, entre eux, du vent, à partir de quoi nous pourrions former nos organisations de la révolution mondiale, n’a rien à voir avec la méthode du communisme. Elle résulte d’un sectarisme communiste infantile [note] .»

Radek condamne le mot d’ordre des gauchistes qui appellent les travailleurs à quitter les syndicats parce qu’en faisant ainsi, les révolutionnaires se coupent des masses et se mettent dans l’incapacité de gagner à eux les travailleurs qui ne sont pas communistes.

Il appelle à la fusion des deux partis communistes existants – le KPD et l’USP. Pour cela, il faut que le parti parvienne à «vaincre les éléments anarcho-syndicalistes dans ses rangs» et qu’il contraigne les éléments hésitants à «prendre part aux actions engagées pour les besoins évidents des masses ouvrières révolutionnaires», faute de quoi il perdra son influence. Pour cela, il faut que «le K.P.D. lutte pour parvenir à la clarté de ses conceptions» et qu’il devienne «le point de rassemblement spirituel du mouvement ouvrier allemand». Faute de réussir, ce ne seront pas les autres partis qui scissionneront, ce sera le KPD qui le fera.

La brochure dans laquelle Radek expose ses vues, et celles de la direction du parti bolchevik, est le résultat de longues discussions et d’échanges de courrier avec Paul Levi, dont elle exprime également les idées. Cette brochure tient pour acquis que la révolution allemande est parvenue à un point mort, ou en tout cas que la première vague de la révolution a échoué.

Cette analyse n’est pas partagée par tous les communistes allemands, ni par tous les bolcheviks russes, divisés eux aussi entre «gauchistes» et «réalistes». Boukharine et Zinoviev pensent toujours à la possibilité de réussite d’une insurrection. 

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PAR : René Berthier
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1

le 8 juillet 2020 12:57:42 par François-Georges

Va-t-on supporter encore longtemps cet interminable feuilleton sur la préhistoire ?
Le monde libertaire n’est pas une revue d’archéologie, quoi.
Zut, alors !

2

le 14 juillet 2020 09:56:57 par ramon pino

Ne pas connaître son Histoire s’est se condamner à reproduire les mêmes erreurs. Vivement le chapitre 12.