Fauteuils pris en otages

mis en ligne le 1 avril 2015
Justement, pour dénoncer ces paradis fiscaux des militants d’Attac ont dévalisé il y a peu une agence de BNP Paribas. Ce n’était pas un braquage pour piquer de l’argent mais du mobilier. En échange des fauteuils ainsi « capturés », la rançon exigée à la BNP Paribas est que celle-ci s’engage à fermer ses filiales aux Îles Caïmans. À notre avis les militants d’Attac peuvent s’asseoir sur les fauteuils réquisitionnés : ils n’ont pas fini d’attendre que la banque s’exécute.