« La terre ne se vend pas... on l'aime et on la défend ».
En octobre 2001, la sortie d'un décret d'expropriation par le gouvernement fédéral prévoit l'expropriation des terres d'Atenco en vu de la construction d'un aéroport international. Ce décret signifie la disparition de la ville.
Pendant plus de 2 ans, les habitants, dont une majorité de paysans, vont mener une lutte sans concession en s'attaquant au pouvoir dans toutes ses représentations, et en amorçant des pratiques autogestionnaires ([cf. article du Monde libertaire n° 1345- art1864]).
Projection-débat le samedi 17 avril à 16 heures à Publico.
Pour les débats à Publico, on fait une petite pose en mai, mais en juin c'est reparti :
le 12 juin répression dans les transports et le 19 juin éducation zapatiste.
M.